Odes to the beauty of women's bodies, the Tanagras are terra cotta statuettes representing women wearing an ornamented drape. Produced in the 4th century BC, they were widely popular throughout the whole Mediterranean basin.
The Tanagras embody a great variety of women: dancers, patricians, goddesses... Heiresses of the prehistoric Venus, they are covered by a colored drape — often blue, ochre or white — which gives grace and charm to their posture and movements.
Descendants of Aphrodite, the Tanagras evoke the sculptural beauty of the feminine ideal.
These visions could only inspire the genius Picasso who often put the female body at the heart of his creation. After the war, in Vallauris, in the Madoura atelier, Picasso reinvented ceramics. He transformed objects of everyday life — vases, plates, jars, … — into works of art.
Picasso seizes the earth to transfigure the Tanagras. With his twists, his movements, Picasso gives birth to women of unique beauty. Then he paints or covers these bodies with colors, choosing original techniques. He brings a new drape to his creations. A second skin, born from the visions of the greatest artist of his time.
Picasso's Tanagras, all unique pieces made in 1947 and 1948, are unequaled masterpieces, present in the greatest collections all around the world.
They fascinate Pieter Mulier, creative director of Alaïa, who wanted to pay tribute to the genius of the artist by creating six dresses, six exceptional pieces inspired by Picasso's Tanagras.
Sculpture becomes couture. The drape becomes a dress. Women remain at the center of creation. Carnal and desirable. With a divine and unique beauty.
Created in partnership with Picasso Administration, these six exceptional dresses are shaped like Picasso's Tanagras.
Made in a limited edition and sold only in selected Alaïa boutiques worldwide, the dresses from the Tanagra collection, presented during the show of the Summer Fall 22 collection, enhance women's bodies and celebrate Picasso's artistic genius. They are also a tribute to Azzedine Alaïa who, above all, cherished the work of Picasso and the dialogue between the arts.
Odes à la beauté du corps des femmes, les Tanagras sont des statuettes en terre cuite représentant des femmes drapées. Produites au IVème siècle avant notre ère, elles connaissent une importante renommée dans tout le bassin méditerranéen.
Les Tanagras incarnent une grande variété de femmes : danseuses, patriciennes, déesses… Héritières des Vénus préhistoriques, elles sont recouvertes d’un drapé souvent coloré — bleu, ocre ou blanc — qui donne à leur posture grâce, mouvement et charme fou.
Descendantes d’Aphrodite, les Tanagras évoquent cette beauté sculpturale de l’idéal féminin.
Ces visions ne pouvaient qu’inspirer le génie Picasso qui a souvent mis le corps des femmes au cœur de sa création. Après la guerre, à Vallauris, dans l’atelier Madoura, Picasso réinvente la céramique. Il transforme les objets usuels — vases, assiettes, jarres, … — en œuvres d’art.
Picasso se saisit de la terre pour transformer, transfigurer sa vision des Tanagras. Avec ses torsions, ses mouvements, Picasso donne naissance à des femmes à la beauté unique. Puis il peint ou couvre de couleurs ces corps, en choisissant des techniques originales. Il offre à ses créations un drapé renouvelé. Une seconde peau née des visions du plus grand artiste de son temps.
Les Tanagras de Picasso, toutes des pièces uniques réalisées en 1947 et 1948, sont des chefs d’œuvre inégalés, présents dans les plus grandes collections du monde.
Elles fascinent Pieter Mulier, directeur de la création d’Alaïa, qui a voulu rendre hommage au génie de l’artiste en réalisant six robes, six pièces exceptionnelles inspirées des Tanagras de Picasso.
La sculpture devient couture. Le drapé devient robe. Le geste perdure et se prolonge. La femme demeure au centre de la création. Charnelle et enivrante. À la beauté divine et incomparable.
Réalisées en partenariat avec la Picasso Administration, ces six robes exceptionnelles reprennent les formes des Tanagras de Picasso.
Produites chacune en édition limitée et vendues uniquement dans une sélection de boutiques Alaïa à travers le monde, les robes de la collection Tanagra, présentées au défilé de la collection Été Automne 22, subliment le corps des femmes et célèbrent le génie artistique de Picasso. Elles sont également un hommage à Azzedine Alaïa qui, par-dessus tout, chérissait le travail de Picasso et le dialogue entre les arts.
